" Polette, ma sœur Polette, ne vois-tu rien venir ?
- Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l'herbe qui verdoie."
Non, mais allô quoi !!
Es-tu aveugle Sœur Polette ? Ne vois-tu point, ce qui arrive, ce qui se passe ?
Ne sens-tu pas, la stéréopole trembler sous tes pieds ? Ne ressens-tu pas, l'oppression qui étouffe.
Ahhh ! Ma sœur Polette, comme je t'envie. Mes yeux, trop ouverts, ne font que remplir mon cœur de d'indignation, et ma plume trop pendue, ne fait que remplir mes pages de révolte.
Comme j'aimerais parfois te ressembler sœur Polette et comme toi, être le disciple de l'ignorance, pouvoir traverser les rues de Stéréopoly, sans voir à chaque croisement, malversations et injustices.
Mais, la vérité pique mes yeux, tourner la tête ne m'apporte rien, l'iniquité est partout.
Dans cette ville où les tirs sont plus nombreux que les marques d'affection, les errements sont multiples. Nous sommes oppressés par la main mise d'un cercle minoritaire, qui occupe la majorité des pouvoirs.
Trompé ? Trahi ? À qui se plaindre ? Je ne saurais répondre.
Bien sûr, nous pourrions crier notre révolte, mais nous semblons muets, apathiques, indifférents.
Nous sommes nous mis à genoux ? Avons-nous accepté, la soumission imposée par les élites ?
Je ne peux y croire, je ne veux y croire.
Si nous avons baisser les armes, alors il n'est plus d'horizon, il n'est plus d'espoir. Toutes ces petites traîtrises, tous les petits arrangements qui semblent insignifiants, ne le sont pas, a chaque détournement du regard, ils font la force de leurs instigateurs.
Soyez vigilent, soyez exigeants, soyez intransigeant. La stéréopole appartient à son peuple et pas seulement à quelques pols. Ne leurs laissez pas croire le contraire, ils en sont déjà persuadés.
Indignez-vous !! Soyez insoumis.
Don R
- Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l'herbe qui verdoie."
Non, mais allô quoi !!
Es-tu aveugle Sœur Polette ? Ne vois-tu point, ce qui arrive, ce qui se passe ?
Ne sens-tu pas, la stéréopole trembler sous tes pieds ? Ne ressens-tu pas, l'oppression qui étouffe.
Ahhh ! Ma sœur Polette, comme je t'envie. Mes yeux, trop ouverts, ne font que remplir mon cœur de d'indignation, et ma plume trop pendue, ne fait que remplir mes pages de révolte.
Comme j'aimerais parfois te ressembler sœur Polette et comme toi, être le disciple de l'ignorance, pouvoir traverser les rues de Stéréopoly, sans voir à chaque croisement, malversations et injustices.
Mais, la vérité pique mes yeux, tourner la tête ne m'apporte rien, l'iniquité est partout.
Dans cette ville où les tirs sont plus nombreux que les marques d'affection, les errements sont multiples. Nous sommes oppressés par la main mise d'un cercle minoritaire, qui occupe la majorité des pouvoirs.
Trompé ? Trahi ? À qui se plaindre ? Je ne saurais répondre.
Bien sûr, nous pourrions crier notre révolte, mais nous semblons muets, apathiques, indifférents.
Nous sommes nous mis à genoux ? Avons-nous accepté, la soumission imposée par les élites ?
Je ne peux y croire, je ne veux y croire.
Si nous avons baisser les armes, alors il n'est plus d'horizon, il n'est plus d'espoir. Toutes ces petites traîtrises, tous les petits arrangements qui semblent insignifiants, ne le sont pas, a chaque détournement du regard, ils font la force de leurs instigateurs.
Soyez vigilent, soyez exigeants, soyez intransigeant. La stéréopole appartient à son peuple et pas seulement à quelques pols. Ne leurs laissez pas croire le contraire, ils en sont déjà persuadés.
Indignez-vous !! Soyez insoumis.
Don R